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Acacia dealbata Link, 1822


Nom(s) vernaculaire(s)Mimosa d'hiver, Mimosa argenté, Mimosa des fleuristes, Mimosa de Bormes
FamilleFabaceae
OrigineOcéanie
Date d’introductionmi-XIXe (1841)

Statuts

Régions administratives
PACAOccitanieCorse
MajeureMajeureMajeure

Zones biogéographiques continentales
Sud-OuestPyrénéesMéd. Occ.Méd. PACAMassif CentralAlpine
AlerteNon envahissanteMajeureMajeureNon envahissanteAbsente


Description

  • Port : arboré, à feuillage persistant.

  • Feuilles : alternes, d'un gris-vert argenté, doublement composées. 8-20 paires de folioles de 2-3 cm de long, elles-mêmes constituées de 30-50 paires de foliolules de 4-7 mm. Présence d'une glande à la jonction de chaque paire de pennes.

  • Tiges : les jeunes rameaux sont pubescents. Le tronc est lisse, à écorce gris-vert.

  • Fleurs : regroupées en têtes sphériques de 5 à 6 mm de diamètre ou glomérules, elles-mêmes regroupées en grappes plus longues que les feuilles. Fleurs jaune citron, parfumées. Floraison de janvier à mars.

  • Fruits : gousses aplaties de 4 à 10 cm de long et de 10 à 12 mm de large, marron.

  • Taille : 5 à 15 m.

  • Confusions possibles : très semblable à Acacia baileyana qui a des feuilles pruineuses, plus glauques et ont moins de 7 paires de segments primaires, et des folioles ciliées ou glabres (feuilles pubescentes chez Acacia dealbata). Ses fleurs sont plus foncées, moins vives et forment des grappes plus petites. Sinon, se distingue facilement des autres Acacia qui ont des feuilles entières (appelées phyllodes).



Cartes

Répartition par mailles INPN de 5*5 km
Fréquence par départements

Altitudes
Biologie et écologie
MilieuxBerges et ripisylves ; Dunes côtières et plages de sable ; Forêts et maquis ; Milieux anthropiques
Type de reproduction / propagation

Les fleurs sont pollinisées par les insectes. Un arbre est capable de produire des graines dès l’âge de 4 ou 5 ans. Acacia dealbata produit beaucoup de graines dont la majorité s'accumule sous l'arbre mère. Elles peuvent être disséminées par les animaux, principalement les oiseaux et les fourmis, ou transportées sur de grandes distances par l’eau, les activités humaines ou des vents forts. Les téguments extérieurs de ses semences ont besoin d’être usés ou rompus (scarifiés) pour germer. Les incendies favorisent leur germination. Les graines ont une durée de vie de 50 ans. Cet arbre a une croissance rapide mais une durée de vie relativement courte (quelques décennies). L’extension des peuplements est essentiellement assurée par le drageonnement et les rejets de souche. Ces deux types de reproduction végétative sont accentués lorsque l'arbre se trouve en état de stress (lésion des racines, taille, coupe, etc.) (AME, 2003).

Type(s) biologiquePhanérophyte

Phénologie
Floraison (mois)JFMAMJJASOND


Impacts et aspects positifs
Impacts écologiques

Local : En région PACA : le mimosa d'hiver entre en compétition avec la végétation indigène, particulièrement sur les sols siliceux (suberaies, maquis, garrigues, littoral méditerranéen, oueds thermo-méditerranéens à laurier rose, ripisylves). Dans le massif de l'Estérel (Alpes-Maritimes et Var), la présence de cette espèce dans les vallons peut concurrencer des espèces remarquables (par exemple Serapias spp. et Osmunda regalis). Au Cap Lardier (Var), l'espèce a un fort développement concurrençant aussi les espèces patrimoniales (Serapias cordigera, Serapias neglecta, Orchis provincialis, etc.). Dans la plaine des Maures (Var), sa forte capacité à drageonner limite les actions d'ouverture des milieux par les gestionnaires d'espaces naturels permettant de créer des zones favorables à la tortue d'Hermann (Testudo hermanni), espèce protégée et quasi menacée d'extinction selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).


D'après la bibliographie : C'est une espèce fixatrice d'azote pouvant modifier fortement les milieux envahis. Le mimosa d'hiver émet des substances toxiques limitant la germination et la croissance racinaire de la végétation alentour (effets allélopathiques). L'espèce peut aussi se développer en formations denses (mimosaies) concurrençant les espèces indigènes, certaines rares et patrimoniales (Fried, 2012).


Impacts sanitaires

D'après la bibliographie : Des allergies à son pollen sont fréquemment signalées (DAISIE, 2006).


Impacts sur les activités humaines

Local : En région PACA : Le mimosa d'hiver pose des problèmes de sécurité humaine par augmentation du risque d'incendie (espèce très inflammable). Lorsqu'il s'installe le long des cours d'eaux, le risque d'érosion des berges et de formation d'embâcles lors de crues est important (AME & CBNMed, 2003). De plus, les travaux liés aux obligations légales de débroussaillement, s'appliquant aux propriétaires de terrains situés à moins de 200 mètres des bois et forêts (dans les zones exposées à un risque d'incendie) sont souvent inefficaces lorsqu'il s'agit de débroussailler des zones envahies de mimosa d'hiver, qui a de fortes capacités de colonisation par drageonnement et rejets de souche. Par exemple, certaines exploitations agricoles, en raison d’une gêne pour leurs activités (cas de viticultures dans le Var par exemple), effectuent un débroussaillage qui abouti à une densification importante du peuplement de mimosas (situation devenant dangereuse en termes de prévention incendie).


D'après la bibliographie : La présence du mimosa d'hiver diminue la production forestière (DAISIE, 2006). Les coûts pour gérer le mimosa d'hiver sont élevés (Invasoras, 2020).


Aspects positifs

Local : En région PACA : c'est une espèce très largement cultivée et plantée en région pour ses qualités esthétiques et olfactives. Elle est utilisée en parfumerie (à Grasse au XIXème siècle). Emblématique des communes de Bormes-les-Mimosas (Var) et de Mandelieu-la-Napoule (Alpes-Maritimes), elle participe à l'économie et la culture locale (tourisme, manifestations).


D'après la bibliographie : En Italie : pour célébrer la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars, il est de coutume d’offrir du mimosa, devenu un symbole politique juste après la fin de la Seconde guerre mondiale.



Gestion

Carte des actions réalisées

Méthodes de contrôle ou d’éradication
Prévention

Éviter de le planter.

Il est possible de limiter la propagation en préservant ou en implantant un halo de végétation locale dense. Ce couvert végétal est le meilleur rempart contre l'implantation du mimosa. En effet, la terre à nu facilite l'installation et le développement des germinations de mimosa.

Méthodes de contrôle ou d’éradication manuelles

Les semis et les plants provenant de drageons ne peuvent être arrachés que si l'on est sûr de retirer toutes les racines (par exemple à réaliser en temps de pluie si le sol est compact) et de les évacuer. Des petits outils de jardinage peuvent être utilisés pour faciliter l'arrachage. Cette méthode doit être réalisée avec un soin extrême pour éviter de casser les drageons ou les racines (un plant de 1 m peut avoir des racines drageonnantes de deux à trois fois sa hauteur), ce qui provoque un rejet plus vigoureux. Elle est simple à réaliser mais nécessite beaucoup de main d’œuvre (Cabasse, 2015).

L'arrachage manuel des semis est complémentaire aux autres méthodes.

Méthodes de contrôle ou d’éradication mécaniques

Ces méthodes nécessitent une veille permanente et assidue sur la zone travaillée pour pister l'apparition de semis et les arracher. Pour les méthodes n'empêchant pas la fructification (écorçage et tire-sève), un passage sur la zone 1 fois tous les deux mois est nécessaire. Ces travaux peuvent être suivis de plantations d'espèces indigènes qui pourront à terme faire de l'ombre aux semis ou rejets de mimosas (Cabasse, 2015).

L’arrachage mécanisé est une technique envisageable sur des terrains permettant l’utilisation d’engins mécaniques sans risques d’impacts sur la biodiversité (Lacosse et al., 2021). Cette technique comprend 5 phases distinctes d’intervention :

  • préparer le dessouchage par la coupe des pieds à 50 cm de hauteur, pour pouvoir être visualisés par le conducteur d’engin ;

  • broyer et/ou évacuer les rémanents pour incinération ;

  • dessoucher à l'aide d'une pelle mécanique ;

  • évacuer les souches ;
  • arracher manuellement les drageons et smis en suivis pluriannuel.


L'écorçage peut être une technique utilisée pour éliminer les pieds mère (adulte semencier), à la fin de l'hiver ou au début du printemps (Cabasse, 2015) :

  • retirer par bandes toute l'écorce sur l'ensemble du tronc depuis l'incision vers le bas jusqu'au maximum des racines ;

  • éliminer régulièrement les éventuels rejets ou semis (arrachage ou débroussaillement) ;

  • attendre environ 1 an (voire plus) jusqu'à ce que l'arbre sèche et meure. Une fois l'arbre mort, le couper ;

  • dessoucher et enlever toutes les racines et évacuer les rémanents.


La technique du tire-sève a pour but d'appauvrir la souche du mimosa qui va perdre sa capacité de rejet. Elle s'applique principalement sur les jeunes rejets (Cabasse, 2015) :

  • abattre le pied mère ayant généré les drageons ;

  • sélectionner sur l'ensemble des rejets issus d'une même racine un drageon qui sera conservé. Éliminer par coupe les autres drageons de la racine ;
  • éliminer par taille annuellement les autres rejets de la souche ;
  • une fois le drageon sélectionné adulte et les autres drageons éliminés, le couper.

Le bâchage a pour objectif ici d'empêcher la photosynthèse et donc la pousse des rejets ou semis. Il est simple, efficace et peu coûteux. Cette méthode s'utilise sur de petites surfaces (environ 50 m²). Elle peut également être utilisée sur une souche isolée (bâcher uniquement la souche). Elle a cependant un impact négatif sur la faune du sol et la flore locale (retour de la végétation au bout de 10 ans) (Cabasse, 2015) :

  • débroussailler de manière exhaustive et couper les plus gros sujets. Poser de la bâche épaisse et opaque (type bâche utilisée en agriculture) et la fixer solidement, puis la recouvrir cette bâche de terre ;

  • laisser en place la bâche environ 5 ans jusqu'à décomposition des souches et du système racinaire ;
  • retirer et évacuer a bâche en fin d'opération pour éviter de polluer le milieu.

La fauche (ou le débroussaillement) permet d'épuiser les réserves du mimosa par une coupe systématique des rejets. 3 ou 4 passages par an sont nécessaires pour épuiser les réserves. C'est une méthode longue, qui nécessite des fauches régulières pendant plusieurs années. Il est nécessaire de prévoir un passage sur la zone 4 fois par an (2 au printemps et 2 à l'automne) pour pister l'apparition de semis et les arracher de manière systématique (Cabasse, 2015).

Méthodes de contrôle ou d’éradication chimiques

Après la coupe, la souche rejette très vigoureusement. Il semble que, dans ce cas, d'après la bibliographie, la lutte chimique peut s'avérer efficace (Bossu, 2010). Attention! l’utilisation d’herbicides est interdite à moins de 5 m d’un cours d’eau ou d’une zone de captage et inappropriée en sites naturels. Les méthodes de lutte chimique ont des impacts négatifs sur l’environnement et la santé humaine : il est indispensable de privilégier des méthodes alternatives. De plus, il est nécessaire de se tenir au courant de la législation en vigueur en matière d'utilisation de produits phytosanitaires : http://e-phy.agriculture.gouv.fr/

Méthodes de contrôle ou d’éradication biologiques ou écologiques

Le pâturage asin peut permettre d'affaiblir le mimosa. Il est pratiqué en hiver, avec une charge de 50 ânes pour 25 ha. Les animaux consomment toutes les pousses de mimosa jusqu'à la période de floraison tant qu'ils n'ont pas autres choses à "se mettre sous la dent". Le mimosa en fleurs n'est plus consommé. Cette méthode est à coupler avec la technique du tire-sève pour aboutir à une pelouse arborée. Elle est respectueuse de l'environnement, mais reste compliquée à mettre en place (Cabasse, 2015).

Le reboisement des terrains traités, en complément ou après des travaux d'élimination du mimosa, en utilisant des espèces indigènes (utiliser des variétés locales) permet de faire de l'ombre aux semis et rejets de mimosa. Cette méthode doit être accompagnée d'un suivi des semis (4 passages par an : 2 au printemps, 2 à l'automne) (Cabasse, 2015).

Autres méthodes de contrôle ou d’éradication

La méthode GAMAR, technique de gestion par injection d’une solution spécifique (à dominance saline) au sein de la souche de l’arbre préalablement coupé, a été testée sur certaines stations à mimosas (dans le Var) afin de limiter leur développement. Cette méthode brevetée, mise en place depuis plusieurs années notamment pour la gestion du robinier faux-acacia (Robinia pseudoacacia) a été créée par le bureau d’étude GAMAR, qui souhaitait répondre de manière innovante aux sollicitations des gestionnaires. Sa mise en œuvre, d’une technicité importante, s’effectue en plusieurs étapes. Chacune d’elles demande de la rigueur, du temps mais peu ou pas d’entretien après son application. Une formation pratique s’avère indispensable : la technique ne peut être appliquée que par le bureau d’étude GAMAR ou un opérateur formé, détenteur d’une licence – des conditions particulières d’attribution de licences sont accordées aux associations et gestionnaires à but non lucratifs (Paule et al., 2017). La technique s’applique principalement sur des secteurs peu à moyennement envahis et présentant des enjeux écologiques ou de protection d’ouvrages forts. Les étapes de mise en œuvre sont :

  • préparation de la souche : coupe et évacuation des bois, tronçonnage de la partie sommitale de la souche afin de laisser 10 à 20 cm de hauteur puis écorçage du pourtour supérieur sur à peu près 5 à 10 cm de largeur jusqu’au cambium ;
  • pose d’un manchon en caoutchouc sur le pourtour de la souche : agrafage du manchon de 30 cm de haut autour de la souche, après avoir appliqué une bande de mastic biodégradable autour de celle-ci (qui sert de joint d’étanchéité au dispositif). Ensuite, fermeture du dispositif sur sa partie haute avec de la colle ;
  • remplissage du manchon avec la solution spécifique « GAMAR » pénétrant les canaux de circulation de sève et vérification de l’étanchéité.
Méthodes inefficaces ou inappropriées

Ne pas entreprendre une action sans suivi régulier.

Ne pas permettre aux nouveaux plants de grainer sur les foyers connus, sinon le processus de gestion nécessite de repartir à zéro avec un risque d’envahissement irréversible.

Ne pas utiliser de la terre végétale et des matériaux « inertes » issus de lieux de stockage envahis, pour éviter la dissémination des graines que ces matériaux peuvent contenir en abondance.

Le glyphosate est un désherbant systémique. Le traitement au désherbant de contact ne sert à rien : il détruit la partie aérienne, mais pas les drageons.

Créer des ouvertures dans le couvert végétal local à proximité des zones infestées favorise la colonisation par le mimosa du fait de cette arrivée de lumière.

Remuer la terre une zone infestée favorise le retour du mimosa.

Gestion des déchets

Tous les rémanents doivent être évacués avec précaution.

Les déchets végétaux doivent être incinérés et non compostés en l'état.

Précautions

Les engins et outils doivent faire l'objet d'un nettoyage avant de traiter la zone envahie (pour ne pas importer de nouvelles graines de cette espèce) et aussi après les travaux, pour ne pas les introduire vers d'autres lieux lors de futurs travaux.

Il faut exercer une pression permanente et assidue sur le mimosa de manière à  limiter son retour. Si une combinaison de techniques est trouvée, il faudra poursuivre les travaux d'entretien sur une dizaine d'année, puis effectuer une veille permanente sans relâche.

Il est important de coupler les méthodes et de les adapter au stade qu'a atteint le mimosa et aux caractéristiques de la station.

Commentaires

Espèce soumise à règlementation agricole : arrêté du 13 juillet 2010 relatif aux règles de bonnes conditions agricoles et environnementales (BCAE).

Les traitements chimiques sont inappropriés dans des sites naturels protégés ou près des cours d'eau. Il est nécessaire de se tenir au courant de la législation en vigueur en matière d'utilisation des produits phytosanitaires : http://e-phy.agriculture.gouv.fr/


Sources bibliographiques

AME & CBNMed, 2003. Plantes envahissantes de la région méditerranéenne. Agence méditerranéenne de l'environnement, Conservatoire botanique national méditerranéen de Porquerolles. 48 p.

Bossu E., 2010. Quinze ans d’expérience dans la lutte contre les plantes exotiques envahissantes forestières de l’île de Porquerolles (Provence, France). Sci. Rep. Port-Cros natl. Park, 24: 199-204.

Cabasse C., 2015. Réflexion en vue de préconisation de travaux afin de limiter la colonisation par le mimosa (Acacia dealbata) sur le hameau du Dattier (Cavalaire, Var). Office National des Forêts. 27 p.

CAL-IPC, 2007.  Acacia dealbata [en ligne]. Disponible sur : https://www.cal-ipc.org/plants/paf/acacia-dealbata-plant-assessment-form/ (page consultée le 07/04/2021).

DAISIE, 2006. Acacia dealbata [En ligne] European Invasive Alien Species Gateway. Disponible sur : http://www.europe-aliens.org/speciesFactsheet.do?speciesId=12749# (page consultée le 19/05/2016).

Fried G., 2012. Guide des plantes invasives. Belin, Paris. 272 p.

Gobierno de España, 2013. Acacia dealbata [en ligne]. Disponible sur : https://www.miteco.gob.es/es/biodiversidad/temas/conservacion-de-especies/acacia_dealbata_2013_tcm30-69798.pdf (page consultée le 07/04/2021).

GT IBMA, 2016. Acacia dealbata [en ligne]. Base d’information sur les invasions biologiques en milieux aquatiques. Groupe de travail national Invasions biologiques en milieux aquatiques. UICN France et Onema. Dissponible sur : http://especes-exotiques-envahissantes.fr/espece/acacia-dealbata/ (pas consultée le 19/01/2018).

Invasoras, 2020. Acacia dealbata [en ligne]. Disponible sur : https://invasoras.pt/pt/planta-invasora/acacia-dealbata (page consultée le 07/04/2021)

Lacosse P., Cottaz C. & Hamon M., 2021. Méthodologie pour la prise en compte du mimosa d’hiver (Acacia dealbata Link) dans la gestion d’un espace protégé : le cas du cap Lardier (La Croix-Valmer, Provence, France). Sci. Rep. Port-Cros Natl. Park, 35: 329-361

Muller S. (coord.), 2004. Plantes invasives en France. Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, Patrimoines naturels (62), 168 p.

Paule A., Paris Sibide P. & Faverot P., 2017. Expérimentations. Le robinier faux-acacia : limiter son impact en espaces naturels. Life Défense nature 2Mil terrains militaires et biodiversité. Conservatoire d’espaces naturels Rhône-Alpes. 7p.

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Citation recommandée : CBNMed & CBNC, 2021. Acacia dealbata [en ligne]. INVMED-Flore, plateforme sur les invasions biologiques végétales. Conservatoire botanique national méditerranéen et Conservatoire botanique national de Corse. Disponible sur : http://www.invmed.fr

Auteurs CBNMed : EK, KD, CC, CS
Auteurs CBNCorse : Yohan Petit
Révision : 2021



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