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Crassula helmsii (Kirk) Cockayne, 1907 [syn. Tillaea helmsii Kirk, 1899]


Nom(s) vernaculaire(s)Crassule de Helms, Orpin de Helms, Crassule
FamilleCrassulaceae
OrigineOcéanie
Date d’introductiondéb-XXe (1911)

Statuts

Régions administratives
PACAOccitanieCorse
PréventionEmergente

Zones biogéographiques continentales
Sud-OuestPyrénéesMéd. Occ.Méd. PACAMassif CentralAlpine
PréventionNon envahissantePréventionPréventionPréventionAbsente


Description

La crassule de Helms (Crassula helmsii) n'a pas été observée à l'heure actuelle en région Provence-Alpes-Côte d'Azur et en région Corse : dans le cas de toute nouvelle observation de cette espèce sur ces territoires, n'hésitez pas à nous alerter (Onglet "Agir" > "Participez aux observations" : http://www.invmed.fr/src/agir/obs.php?idma=43).

  • Port : plante vivace, grasse, stolonifère, amphibie, formant des tapis denses à la surface de l'eau.

  • Feuilles : opposées, sessiles, succulentes, reliées entre lles par une encolure.

  • Tige : succulente et de couleur verte à rouge surtout au niveau de l'insertion des feuilles, porte des racines à chaque noeud.

  • Fleurs : situées à l'aisselle des feuilles, fleurs solitaires à 4 pétales blancs ou roses, légèrement plus longs que les sépales. Floraison de juin à septembre.

  • Fruits : follicules contenant de 2 à 5 graines chacun. Les graines sont de forme elliptique à ovale, lisses et de 0,5 mm de long.

  • Taille : de 8 à 60 cm (jusqu'à 130 cm dans les milieux favorables).

  • Confusion possible : avec certaines espèces de Callitriche spp. (qui se distinguent par des feuilles aux pointes échancrées en forme de clé à molette, du fait qu'elles sont souvent flottantes et plus rarement émergées, avec des fleurs non blanches et des feuilles fines planes non charnues) et Montia spp. (présentant des feuilles plus larges et des fleurs à 5 pétales), Sedum spp. (présents en milieux secs) et l’espèce indigène proche Crassula tillaea (aussi cantonnée aux milieux secs).



Cartes

Répartition par mailles INPN de 5*5 km
Fréquence par départements

Altitudes
Biologie et écologie
MilieuxBerges et ripisylves ; Eaux courantes ou stagnantes ; Marais, tourbières, tufières
Type de reproduction / propagation

L'orpin de Helms se reproduit de manière végétative grâce à des turions, des stolons, ou par bouturage (un fragment de tige inférieur à 5 mm peut suffire à former une bouture). La production de graines viables est incertaine en Europe (des expérimentations en conditions contrôlées semblent néanmoins démontrer le développement de plantes par germinations). La propagation des fragments de plante est effectuée par les oiseaux aquatiques, les hélices des bateaux, les activités d'entretien des cours d'eau et les rejets d'aquariums.

Type(s) biologiqueHélophyte

Phénologie
Floraison (mois)JFMAMJJASOND


Impacts et aspects positifs
Impacts écologiques

Local : L'habitat d'intérêt communautaire "Mares temporaires méditerranéennes (3170)" pourrait être particulièrement sensible à un envahissement par Crassula helmsii en cas d'introduction (Dortel & Dutartre, 2018).


D'après la bibliographie : L'orpin de Helms forme des populations denses et monospécifiques, ce qui induit des altérations physico-chimique et biotique du milieu aquatique, et diminue l’intensité lumineuse disponible pour les espèces immergées, pouvant entrainer la disparition locale d'espèces aquatiques indigènes (cas de Helosciadium inundatum, Ranunculus ophioglossifolius ou Cardamine parviflora dans les marais de Machecoul, Loire-Atlantique par exemple) et conduisant à des situations d'anoxie néfastes à la faune aquatique (notamment aux amphibiens). Cette espèce stolonifère compétitive peut aussi dominer des plantes indigènes (par la densité et la superficie de ses populations) grâce à une croissance rapide et une occupation de sa niche écologique tout au long de l’année.

Cette espèce peut résister à des mises en assec plus ou moins prolongées par réduction de son évapotranspiration diurne (via la fermeture des stomates). Ses caractéristiques biologiques en font une plante pionnière à fort pouvoir colonisateur, en particulier dans les eaux douces peu profondes, ensoleillées, riches en nutriments, surtout lorsque la végétation est clairsemée pour des causes naturelles ou suite à un aménagement (Dortel & Dutartre, 2018).


Impacts sanitaires

D'après la bibliographie : L'orpin de Helms forme un tapis végétal homogène en bordure de plans d'eau qui peut se confondre avec une surface solide végétalisée (pré par exemple), pouvant entraîner un risque de chute et de noyade pour le bétail s'aventurant sur ces tapis végétaux émergés.


Impacts sur les activités humaines

D'après la bibliographie : L'orpin de Helms entraîne l'obstruction des cours d'eau et une réduction de l'écoulement de l'eau, pouvant augmenter le risque d'inondation et empêcher certaines activités nautiques et activités de pêche.


Aspects positifs

D'après la bibliographie : L’usage de l'orpin de Helms comme plante oxygénante et épuratrice a été mentionné dans la littérature. Des conditions anaérobiques ont pourtant été observées suite à leur introduction dans des plans d'eau, en résultat notamment de l’augmentation de la biomasse végétale.



Gestion

Carte des actions réalisées

Méthodes de contrôle ou d’éradication
Prévention

Ne pas utiliser cette espèce : elle est désormais réglementée en France métropolitaine. Il est ainsi interdit de l'introduire dans le milieu naturel, de l'utiliser, de la transporter, de la détenir, de l'échanger ou de la commercialiser.

Méthodes de contrôle ou d’éradication manuelles

L'arrachage manuel (à l'aide d'un outillage type houe, pelle ronde « col de cygne », balayette, etc.) est possible mais déconseillé si des mesures de limitation de dispersion des fragments (barrage filtrant, pompe hydraulique, clôture avec treillis, nettoyage matériel, etc.) ne sont pas prévues lors de l'opération : la plante étant fragile, elle produira de nombreux fragments qui peuvent s'enraciner sur d'autres zones alentours. De plus, cette technique est envisageable dans des sites présentant des pieds isolés identifiables ou des herbiers de superficies réduites ne dépassant pas quelques mètres carrés (Dortel & Dutartre, 2018).

Néanmoins, cette méthode a été un succès sur une zone humide de Seine-et-Marne : les plants de Crassula helmsii ont été arrachés le plus soigneusement possible et la pose d'une bâche verticale a permis de cloisonner la zone de chantier. En 2017, aucune repousse n'a été constaté. 

Pour en savoir plus : http://www.especes-exotiques-envahissantes.fr/wp-content/uploads/2017/10/rex6-crassule-seine-et-marne.pdf

De même pour les marais de l'Acheneau et du Tenu (sud de la Loire, Loire-Atlantique) où l'étrépage manuel montre de bons résultats trois mois après les travaux. Un suivi régulier doit cependant être effectué pour contrôler les repousses.

Pour en savoir plushttp://especes-exotiques-envahissantes.fr/wp-content/uploads/2019/04/rex_crassule-acheneau-tenurex-vf.pdf

Méthodes de contrôle ou d’éradication mécaniques

Il est possible de retirer à la pelle mécanique les surfaces moyennes colonisées par la plante en prenant de grandes précautions (comme la pose de filets en aval de la zone de l'opération pour récupérer les fragments de plantes ou encore la pose d'un treillis métallique fin, 5 mm, pour encadrer la zone). Il est ensuite nécessaire de retirer les fragments restants manuellement et de bien nettoyer les chaussures et les différents équipements utilisés. Un long suivi est nécessaire (tous les 5 à 6 mois pendant une durée de 5 ans) et les opérations doivent être répétées si nécessaire. Cette technique englobe nécessairement le prélèvement de sol ou de sédiment dans lesquels sont enracinées les plantes. Le décapage (ou étrépage) se fait alors sur une épaisseur de 10 à 20 cm.

Cette méthode de gestion, couplée avec de l'arrachage manuel, a été testé dans les Deux-Sèvres sur une mare colonisée par Crassula helmsii.

Pour en savoir plus : http://www.especes-exotiques-envahissantes.fr/wp-content/uploads/2018/10/crassule_de_helms_r1.pdf

Le curage est possible lorsque la zone est totalement envahie, c'est le cas dans les mares du Cap Gris-Nez (Pas-de-Calais). Cette méthode coûteuse permet d'extraire les végétaux ainsi que la terre contaminée. Il est important de réaliser cette opération en prenant en compte le calendrier biologique de certaines espèces  indigènes, notamment des amphibiens. 

Pour en savoir plus : http://www.especes-exotiques-envahissantes.fr/wp-content/uploads/2016/02/160202_Crassule_Eden-62.pdf

Le comblement des mares ou des bras morts peut être envisagé en fonction du contexte de la zone : évaluation des enjeux écologiques de disparition du biotope, site de dimension réduite (quelques dizaines à quelques centaines de mètres carrés), aux limites très marquées (dépressions très localisées par exemple). En effet, un ancien bras mort de la Vire (Manche), qui n'était plus utilisé par la pêche et envahi par Crassula helmsii, a fait l'objet d'une opération de comblement. Cette zone n'était plus connectée au cours d'eau principal qu'en période de crues seulement. Pour éviter que l'espèce ne se disperse, l'intégralité du bras mort a été remblayé. 

Pour en savoir plus : http://www.especes-exotiques-envahissantes.fr/wp-content/uploads/2014/01/crassule_de_helms_r4.pdf.pdf

Méthodes de contrôle ou d’éradication chimiques

L'utilisation d'herbicides a été préconisée par le passé mais elle est aujourd'hui interdite dans les zones humides ou aquatiques. Attention! l’utilisation d’herbicides étant interdite à moins de 5 m d’un cours d’eau ou d’une zone de captage : il est indispensable de privilégier des méthodes alternatives. De plus, il est nécessaire de se tenir au courant de la législation en vigueur en matière d'utilisation de produits phytosanitaires : http://e-phy.agriculture.gouv.fr/

Méthodes de contrôle ou d’éradication biologiques ou écologiques

Une espèce d'acarien de la famille des Eriophyides (Aculus sp.) est présentée en tant qu'espèce prioritaire comme agent de biocontrôle de Crassula helmsii : les premiers résultats obtenus sur cette espèce indiquent qu'elle infecterait seulement l'orpin de Helms mais des études complémentaires sont en cours (Dortel & Dutartre, 2018).

Autres méthodes de contrôle ou d’éradication

La pose de bâches opaques évite la pénétration de la lumière et ainsi empêche le développement de la plante. Un minimum de 6 mois est nécessaire pour voir des effets.

Bien que tolérante à une faible salinité (elle peut envahir des milieux saumâtres) l'usage du sel comme moyen de gestion peut être envisagé pour certains sites, proches de la mer ou plus ou moins artificialisés et présentant de faibles enjeux environnementaux afin d'avoir un effet sur l'orpin de Helms (par inondation du site envahi à l'eau salée). Certains auteurs préconisent une certaine concentration en sel à partir de 8 parts pour mille, d'autres une concentration beaucoup plus importante (30 parts pour mille), qui va également impacter les espèces indigènes non tolérante à une forte salinité du milieu (Dean et al., 2013).

Méthodes inefficaces ou inappropriées

L'arrachage manuel et l'arrachage mécanique mal préparés entrainent la production de nombreuses boutures qui s'enracineront dans les zones alentours si aucune précaution n'est prise pour récupérer les fragments arrachés.

La teinture aquatique (aquatic dye) a été utilisée en bassins ornementaux aux États-Unis pour supprimer la disponibilité lumineuse afin de limiter l'activité photosynthétique et avoir un effet négatif sur la plante. Ce traitement a permis de diminuer le recouvrement de l'orpin de Helms de 14% mais pas de l'éradiquer, et l'espèce a repoussé au niveau de pré-traitement en moins d'un an ce qui s'est donc révélé non concluant (Ewald, 2014). De plus, l'utilisation de Dyofix, colorant antialgue limitant la pénétration de la lumière et ainsi la croissance des végétaux, ne s'est pas révélé non plus efficace.

Pour en savoir plus : http://www.especes-exotiques-envahissantes.fr/wp-content/uploads/2018/10/crassule_de_helms_r2.pdf

Le contrôle par la carpe chinoise (Ctenopharingodon idella) est à proscrire : il est interdit d’introduire cette espèce en milieu naturel.

Le pâturage (et piétinement) par le bétail : l'orpin de Helms tire bénéfice du pâturage, car cette perturbation semble éliminer les autres espèces compétitives (Dean et al., 2015).

Le traitement par un agent moussant biodégradable chaud (hot foam) a été utilisé dans les mares à sec (la chaleur fait éclater les cellules de la plante et la tue). Ce traitement a permis de diminuer le recouvrement de l'orpin de Helms de 12% mais pas de l'éradiquer, et il a repoussé au niveau de pré-traitement en moins de 5 mois (Ewald, 2014).

Le désherbage thermique a été testé par le Parc naturel régional de Brière (Loire-Atlantique) et son efficacité semble limitée. D'autres tests sont en cours.

Pour en savoir plus : http://www.especes-exotiques-envahissantes.fr/wp-content/uploads/2017/09/rex-crassule-briere.pdf

Gestion des déchets

De grands volumes de matière végétale en décomposition laissés en bordure de zones humides sont inacceptables (risque de dissémination). Les produits d'arrachage doivent être évacués directement vers un site de traitement (incinération) ou stockés temporairement en dehors de toute zone humide (sous réserve dans ce cas de l'obtention d'une dérogation au transport de l'espèce) en vue d'être ensuite valorisés.

En effet, la gestion des rémanents doit se faire par incinération, étant donné la résistance à la dessiccation de la plante et les risques de dispersion (possiblement par graines mais surtout par fragments de plantes).

Précautions

Éviter tout déplacement ou piétinement inutile dans les zones colonisées, qu'elles le soient densément ou non (éviter autant que possible de marcher directement sur les plantes) étant donné que les turions de la plante peuvent facilement se retrouver dans les cannelures de semelles de bottes (ou chaussures) et pneus de véhicules.

Lors des interventions comportant un arrachage des plantes (ou un décapage des sols colonisés), travailler de façon centripète et déplacer le travail en évitant de revenir sur une zone dégagée des plantes (ou décapée), de manière à limiter la dispersion de fragments.

Dans le cas de sites en eau, procéder à l'installation de filets ou d'autres systèmes de barrage permettant de récupérer les fragments de tiges dérivant puis au nettoyage de ces systèmes de contention (maille fine, quelques millimètres au plus).

Bien retirer tous les fragments de la plante présents sur les équipements ou les chaussures et nettoyer les outils et engins ayant été utilisés dans la zone où l'espèce est présente avant de la quitter.

Commentaires

Espèce végétale exotique envahissante sur le territoire métropolitain :

- Arrêté du 2 mars 2023 portant mise à jour de la liste des espèces animales et végétales exotiques envahissantes sur le territoire métropolitain.
- Arrêté du 14 février 2018 relatif à la prévention de l'introduction et de la propagation des espèces végétales exotiques envahissantes sur le territoire métropolitain. Annexe I-5.

La plupart des gestionnaires ayant travaillé sur la gestion de cette espèce indiquent que mis à part des interventions dans des sites de petites dimensions à la suite d'une détection précoce de l'installation de l'orpin de Helms, il est extrêmement difficile, voire impossible, d'éradiquer l'espèce et ceci quelle que soit la technique appliquée (Dortel & Dutartre, 2018).


Sources bibliographiques

Dean C., Day J., Gozlan R. E., Green I., Yates B. & Diaz A., 2013. Estimating the minimum salinity level for the control of New Zealand Pygmyweed Crassula helmsii in brackish water habitats. Conservation Evidence. 10: 89-92.

Dean C., Day J., Gozlan R.E. & Diaz A., 2015. Grazing Vertebrates Promote Invasive Swamp Stonecrop (Crassula helmsii) Abundance. Invasive Plant Science and Management, 8:131–138.

Delbart E. & Monty A., 2012. Plantes invasives aquatiques en Wallonie : Comment les gérer ? Cas des plantes amphibies. Université de Liège, Gembloux Agro-Bio Tech - Unité Biodiversité et Paysage. 28 p.

Dortel F. & Dutartre A., 2018. La Crassule de Helms (Crassula helmsii Cockayne, 1907) : Fiche d’alerte détaillée, première analyse des risques, possibilités de régulation et mesures de biosécurité [en ligne]. Groupe de travail Invasions biologiques en milieux aquatiques. Disponible sur : http://www.especes-exotiques-envahissantes.fr/wp-content/uploads/2018/01/dortel_dutartre_2017_crassule_de_helms_synthese_vf.pdf (page consultée le 21/05/2021)

Ewald N.C., 2014. Crassula helmsii in the New Forest. Final report on the status, spread and impact of this non-native invasive plant, and the efficacy of control techniques following a 3-year trial. Prepared on behalf of the New Forest Non-Native Plants Project. Freshwater Habitats Trust, Oxford, 46 p.

FCBN, 2010. Crassula helmsii (Kirk) Cockayne [en ligne]. Fédération des Conservatoires botaniques nationaux. 4 p. Disponible sur : http://www.fcbn.fr/sites/fcbn.fr/files/ressource_telechargeable/fiche_crassula_helmsii_sr.pdf

Fried G., 2012. Guide des plantes invasives. Belin, Paris. 272 p.

Gobierno de España, 2013. Crassula helmsii [en ligne]. Catalogo espanol de especies exoticas invasoras. Disponible sur : https://www.miteco.gob.es/es/biodiversidad/temas/conservacion-de-especies/Crassula_helmsii_2013_tcm30-69822.pdf (page consultée le 21/04/2021)

GT IBMA, 2016. Crassula helmsii [en ligne]. Base d’information sur les invasions biologiques en milieux aquatiques. Groupe de travail national Invasions biologiques en milieux aquatiques. UICN France et Agence française pour la biodiversité. Disponible sur : http://especes-exotiques-envahissantes.fr/espece/crassula-helmsii/

Levy V. (coord.), Watterlot W., Buchet J., Toussaint B. & Hauguel J.-C., 2015. Plantes exotiques envahissantes du Nord-Ouest de la France : 30 fiches de reconnaissance et d’aide à la gestion. Centre régional de phytosociologie agréé Conservatoire botanique national de Bailleul, Bailleul. 140 p.

Pieret N., Delbart E. & Mahy G., 2009. Fiches descriptives des principales espèces de plantes invasives en zones humides : la crassule des étangs : Crassula helmsii (T. Kirk) Cock. Cellule d’appui à la gestion des plantes invasives – Proposition de méthodes de gestion préventives et actives de la problématique des plantes invasives aux abords des cours d’eau non navigables en Région wallonne. Laboratoire d’Ecologie, FUSAGx, Belgique.

Sarat E., Mazaubert E., Dutartre A., Poulet N. & Soubeyran Y., 2015. Les espèces exotiques envahissantes dans les milieux aquatiques : connaissances pratiques et expériences de gestion. Volume 2 - Expériences de gestion. Onema, Collection Comprendre pour agir, 240 p.

Sarat E., Blottière D., Dutartre A., Poulet N., Soubeyran Y., 2018. Les espèces exotiques envahissantes dans les milieux aquatiques : connaissances pratiques et expériences de gestion (bis). Volume 3 - Expériences de gestion. Onema. Collection Comprendre pour agir. 212 p.

Val'hor, 2020. Crassula helmsii [en ligne]. Code de conduite plantes envahissantes.  Disponible sur : https://www.codeplantesenvahissantes.fr/plantes-concernees/ (page consultée le 28/04/2020)

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Citation recommandée : CBNMed, 2021. Crassula helmsii [en ligne]. INVMED-Flore, plateforme sur les invasions biologiques végétales. Conservatoire botanique national méditerranéen et Conservatoire botanique national de Corse. Disponible sur : http://www.invmed.fr

Auteurs CBNMed : EK, KD, MH, CC, CS
Révision : 2021



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